Imaginez. Le volume immense d’une ancienne fonderie. 140 vidéoprojecteurs laser. 50 enceintes spatialisées. Le tout pour s’immerger dans des tableaux de Klimt au son de Beethoven, Wagner ou Strauss.
Les créations chatoyantes de Klimt apparaissent par touches, se mélangent, se complètent, s’entremêlent. L’or et les fleurs, les voiles et les arbres, les femmes et les anges dansent sur les murs. On marche dans ce tableau vivant, les oreilles pleines.
C’est psychédélique. On voudrait le retenir mais c’est déjà fini. Alors on reste pour un deuxième tour.
On est à Paris, mais c’est un voyage dans une autre réalité.
C’est l’Atelier des lumières; il a ouvert le 13 avril; l’expo dure jusqu’en novembre 2018.
J’ai pris quelques photos et vidéos, mais ça ne rend pas grand-chose.
Allez-y.