On me fait remarquer qu’il n’y a jamais plus de deux personnes sur mes photos d’une ville surpeuplée.
C’est pour une raison simple: tout le monde est concentré sur ce chemin tranquille entre deux eaux.
On me fait remarquer qu’il n’y a jamais plus de deux personnes sur mes photos d’une ville surpeuplée.
C’est pour une raison simple: tout le monde est concentré sur ce chemin tranquille entre deux eaux.